En louant votre terrain à un producteur d’énergie photovoltaïque – Ferme Solaire ou l’un de ses partenaires –, celui-ci y installe et exploite une centrale solaire. En échange, vous percevez un loyer annuel attractif.
Malheureusement non, l'investissement pour construire et raccorder une centrale solaire au sol est d'au moins 1 millions d'euros par hectare.
En dessous de 1 ha, il est impossible d'avoir un modèle économique viable en prenant en compte le versement d'un loyer au propriétaire du terrain.
À savoir : vous pouvez cumuler la surface de plusieurs parcelles géographiquement proches pour améliorer l'éligibilité de votre projet.
En moyenne, vous pouvez percevoir entre 500 € et 5 000 € par hectare et par an.
Le loyer versé pour la location d’un terrain à un producteur d’énergie photovoltaïque varie selon plusieurs critères :
Les montants les plus élevés concernent les terrains dégradés proches d’un poste source.
Éligibilité forte : les anciennes mines, carrières de pierre, sablières, sites d'enfouissement, sites industriels désaffectés, anciens sites artificialités, terrains inutilisés en ZAE ou ZI...
Éligibilité moyenne : les plans d'eau, friches agricoles, serre agricoles et prairies.
Éligibilité basse : les terrains cultivés. Du fait de la réglementation agrivoltaïque il est pratiquement impossible d'envisagé un projet sur les surfaces cultivées inférieure à 10 ha.
Beaucoup de producteurs d'énergie ne peuvent pas investir sur les petits terrains.
Le temps passé dans l'instruction du dossier et la relative faiblesse des revenus tirés de l'exploitation de parcelles dont la superficie est inférieure à 3 ha ne leur permettent pas d'avoir un modèle économique viable.
Ferme Solaire, propose de développer développer ce segment de marché soit en direct soit en réalisant l'instruction du projet pour le producteur d'énergie partenaire.
Oui et non.
Oui car pour compenser la petite taille du terrain, les autres critères doivent être à leur plus haut niveau : proximité d'un point de raccordement, localisation, type de terrain...
Non car le taux d'acceptabilité de ce type de projet est plus élevé : il y a moins de risque d'être bloqué par la présence d'une zone naturelle protégée et une réglementation urbaine spécifique.
En théorie, oui. Toutefois, la faisabilité d’un tel projet dépend fortement de la nature de la parcelle agricole. La réglementation impose que l’installation de panneaux photovoltaïques au sol ne dépasse pas 40 % de la surface d’une même parcelle.
Par ailleurs, le projet agrivoltaïque doit impérativement maintenir, voire améliorer, l’activité agricole existante.
À ce titre, certains types de terrains – comme les friches agricoles ou les plans d’eau – sont généralement mieux perçus par les autorités et plus attractifs pour les producteurs d’énergie. À l’inverse, les prairies naturelles présentent plus de contraintes, et les terrains cultivés rendent un projet quasi inenvisageable.
Parmi les 7 types de terrains éligibles
Surface, en hectares, du terrain à étudier sur lequel vous souhaitez installer une ferme solaire.
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Région française du terrain où vous souhaitez installer une ferme solaire.
Moitié Sud
Nouvelle Aquitaine, Occitanie, PACA, Auvergne Rhône-Alpes et Corse
Moitié Nord
Toutes les régions françaises non situées sur la moitié sud
Loyer maximum escompté i
Tonnes de CO2 évitées i
Ferme solaire vous permet de recevoir jusqu'à 3 offres de producteurs d'énergie partenaires reconnu pour leur savoir faire et leur valeur.
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Après avoir contacté plusieurs entreprises de ce type et avoir reçu des informations très limitées. Ma conversation avec le représentant de Ferme Solaire m’a permis de comprendre parfaitement le cadre légal, le timing du projet et les perspectives de réussite.
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Non, aucun frais n’est à votre charge.
De la conception du projet jusqu’au démantèlement de la centrale, tout est pris en charge par le producteur d’énergie : études, démarches administratives, travaux, raccordement, maintenance, et même la remise en état du terrain en fin de contrat.
Vous n’avez aucune avance à faire, ni gestion à assurer. Le producteur s’occupe de tout, à ses frais.
À la fin du contrat, plusieurs options s’offrent à vous :
En moyenne, il faut compter entre 3 et 6 ans entre la signature d’une promesse de bail et la mise en service de la ferme solaire. Voici les grandes étapes :
Le bail emphytéotique est un contrat de location longue durée, allant de 18 à 99 ans. Il donne au locataire – qu’on appelle l’emphytéote – des droits étendus sur le terrain, comme s’il en était presque propriétaire. Il peut par exemple y réaliser des travaux ou même le sous-louer.
Ce type de bail présente des avantages pour les deux parties :
À noter : comme l’emphytéote a un usage quasi-propriétaire du terrain, c’est lui qui paie la taxe foncière, et non le propriétaire. L’administration fiscale considère que c’est à lui d’en assumer la charge.
Il existe deux options, selon votre choix :
Oui. Vous louez votre terrain sans le vendre : vous restez pleinement propriétaire.
Le bail autorise simplement l’exploitant à y installer et exploiter une centrale pendant une durée définie (souvent 30 à 40 ans). À la fin, le terrain vous revient, remis en état.