Notre engagement repose sur une approche harmonieuse entre production agricole et transition énergétique.
En partenariat étroit avec les acteurs du monde rural, politique et privé nous, nous accompagnons les agriculteurs dans la réalisation de projets qui leur ressemblent et servent leurs intérêts.
En moyenne, pour une friche agricole, le loyer se situe entre 2 000 € et 5 000 € par hectare et par an.
Le montant du loyer dépend principalement de :
À savoir : le terrains dégradés (ancienne carrière, friche industrielle...) offrent des rémunérations allant jusqu'à 9 000€ par hectare et par an. En savoir plus (lien à insérer)
Oui la surface minimale pour l'exploitation d'un central solaire dépend de l'usage du terrain :
À savoir : vous pouvez cumuler la surface de plusieurs parcelles géographiquement proches pour améliorer l'éligibilité du projet.
Ce point est essentiel : L’absence de déclaration à la PAC (Politique Agricole Commune) constitue un indicateur clair pour démontrer que la parcelle n’est plus en activité agricole.
En pratique, les friches agricoles peuvent être :
Oui, Il doit y avoir une reprise d’activité agricole : le projet agrivoltaïque n’est pas là pour entériner l’abandon, mais pour réactiver une production agricole durable, compatible avec les panneaux.
En revanche, un projet photovoltaïque simple (non agrivoltaïque), peut également être envisagé si aucune relance agricole n’est envisageable — sous réserve de cohérence avec le document d’urbanisme local.
Cela dépend de l’état du sol, de la surface, du climat, du foncier disponible à proximité. Les activités les plus souvent envisagées sont :
Le développeur travaille avec l’exploitant ou un éleveur partenaire pour construire un projet réaliste et pérenne.
Pour démontrer qu’une parcelle est bien une friche agricole (et non un espace naturel ou boisé), on peut mobiliser :
L’enjeu est de construire un dossier solide, partagé entre développeur, porteur agricole et collectivité.
C’est un point de vigilance majeur. Une friche agricole n’est pas une friche boisée.
Si la nature a repris le dessus, avec un boisement spontané significatif (arbres de plus de 5-6 mètres, reconstitution d’un couvert forestier, zones humides, etc.), alors :
C’est pourquoi il est essentiel d’intervenir à temps :
Une friche identifiable, mais non encore boisée, est beaucoup plus facile à mobiliser qu’une parcelle où les arbres ont déjà repris leurs droits.
Parmi les 7 types de terrains éligibles
Surface, en hectares, du terrain à étudier sur lequel vous souhaitez installer une ferme solaire.
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Région française du terrain où vous souhaitez installer une ferme solaire.
Moitié Sud
Nouvelle Aquitaine, Occitanie, PACA, Auvergne Rhône-Alpes et Corse
Moitié Nord
Toutes les régions françaises non situées sur la moitié sud
Loyer maximum escompté i
Tonnes de CO2 évitées i
Ferme solaire vous permet de recevoir jusqu'à 3 offres de producteurs d'énergie partenaires reconnu pour leur savoir faire et leur valeur.
Un interlocuteur unique suit votre projet de A à Z
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Après avoir contacté plusieurs entreprises de ce type et avoir reçu des informations très limitées. Ma conversation avec le représentant de Ferme Solaire m’a permis de comprendre parfaitement le cadre légal, le timing du projet et les perspectives de réussite.
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Non, aucun frais n’est à votre charge.
De la conception du projet jusqu’au démantèlement de la centrale, tout est pris en charge par le producteur d’énergie : études, démarches administratives, travaux, raccordement, maintenance, et même la remise en état du terrain en fin de contrat.
Vous n’avez aucune avance à faire, ni gestion à assurer. Le producteur s’occupe de tout, à ses frais.
À la fin du contrat, plusieurs options s’offrent à vous :
En moyenne, il faut compter entre 3 et 6 ans entre la signature d’une promesse de bail et la mise en service de la ferme solaire. Voici les grandes étapes :
Le bail emphytéotique est un contrat de location longue durée, allant de 18 à 99 ans. Il donne au locataire – qu’on appelle l’emphytéote – des droits étendus sur le terrain, comme s’il en était presque propriétaire. Il peut par exemple y réaliser des travaux ou même le sous-louer.
Ce type de bail présente des avantages pour les deux parties :
À noter : comme l’emphytéote a un usage quasi-propriétaire du terrain, c’est lui qui paie la taxe foncière, et non le propriétaire. L’administration fiscale considère que c’est à lui d’en assumer la charge.
Le seul équipement pouvant émettre un léger bruit est l’onduleur, qui transforme le courant continu en courant alternatif. Ce bruit est comparable à un léger souffle et n’est perceptible que si l’on se trouve à proximité immédiate de l’appareil.
En résumé, une centrale solaire est une source d’énergie discrète, qui s’intègre parfaitement dans son environnement sans nuisance sonore.
Cela dépend de la configuration du terrain. Dans le cas où la visibilité de la centrale agrivoltaïque est un enjeu, des mesures d’intégration paysagère sont mises en place : haies végétales, talus ou clôtures pour préserver la discrétion du site et limiter son impact visuel.
L’objectif est toujours de respecter l’environnement local et de préserver la tranquillité du voisinage.
Non. Une friche reste un terrain agricole, même si elle n’est plus exploitée.
Elle est inscrite comme telle dans les documents cadastraux, et reste soumise aux règles du code rural et du code de l’urbanisme.
Cela signifie que :
Oui. Vous louez votre terrain sans le vendre : vous restez pleinement propriétaire.
Le bail autorise simplement l’exploitant à y installer et exploiter une centrale pendant une durée définie (souvent 30 à 40 ans). À la fin, le terrain vous revient, remis en état.
Plusieurs possibilités :
L’essentiel est que l’activité agricole soit réelle, continue et traçable, conformément au décret du 8 avril 2024.