Grâce à la location votre terrain auprès d’un producteur d’énergie photovoltaïque. Celui-ci y installe et exploite une centrale solaire, en échange d’un loyer annuel attractif.
Oui. Les anciens aérodromes font partie des terrains dégradés les plus recherchés pour accueillir des projets solaires au sol.
Leur surface plane, leur bon ensoleillement et leur éloignement des zones habitées en font des sites parfaits pour produire de l’électricité renouvelable.
Un revenu régulier, sans frais pour vous
Le loyer dépend de plusieurs critères comme la surface et l’emplacement du terrain. En moyenne, il varie entre 7 000 € et 13 000 € par hectare et par an.
Aucun investissement à prévoir
Le producteur prend en charge :
Vous n'avez pas à payer la taxe foncière, c'est le locataire qui la prend en charge pendant toute la durée du contrat .
Oui, une surface minimale est requise pour l'exploitation d'une centrale solaire :
✔ Dès 1 ha pour les terrains dégradés dont font partie les anciens aérodromes .
À savoir : vous pouvez cumuler la surface de plusieurs parcelles géographiquement proches pour améliorer l'éligibilité du projet.
Oui, et même avantageux. Une dalle, une surface empierrée ou une clôture existante peuvent faciliter l’installation et la sécurisation du site.
Le développeur peut réutiliser ou adapter les aménagements existants.
Non. Même si l’aérodrome est composé de plusieurs parcelles ou zones discontinues, il est possible d’installer une centrale photovoltaïque sur une partie seulement du site.
Le producteur d'énergie photovoltaïque peut aussi proposer de réunir les parcelles cadastrales pour simplifier le bail.
Surface, en hectares, du terrain à étudier sur lequel vous souhaitez installer une ferme solaire.
Une question sur ce simulateur ?
Lisez notre FAQ
Région française du terrain où vous souhaitez installer une ferme solaire.
Moitié Sud
Nouvelle Aquitaine, Occitanie, PACA, Auvergne Rhône-Alpes et Corse
Moitié Nord
Toutes les régions françaises non situées sur la moitié sud
Loyer maximum escompté i
Tonnes de CO2 évitées i
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Non, aucun frais n’est à votre charge.
De la conception du projet jusqu’au démantèlement de la centrale, tout est pris en charge par le producteur d’énergie : études, démarches administratives, travaux, raccordement, maintenance, et même la remise en état du terrain en fin de contrat.
Vous n’avez aucune avance à faire, ni gestion à assurer. Le producteur s’occupe de tout, à ses frais.
À la fin du contrat, plusieurs options s’offrent à vous :
En moyenne, il faut compter entre 3 et 6 ans entre la signature d’une promesse de bail et la mise en service de la ferme solaire. Voici les grandes étapes :
Le bail emphytéotique est un contrat de location longue durée, allant de 18 à 99 ans. Il donne au locataire – qu’on appelle l’emphytéote – des droits étendus sur le terrain, comme s’il en était presque propriétaire. Il peut par exemple y réaliser des travaux ou même le sous-louer.
Ce type de bail présente des avantages pour les deux parties :
À noter : comme l’emphytéote a un usage quasi-propriétaire du terrain, c’est lui qui paie la taxe foncière, et non le propriétaire. L’administration fiscale considère que c’est à lui d’en assumer la charge.
Il existe deux options, selon votre choix :
Oui. Vous louez votre terrain sans le vendre : vous restez pleinement propriétaire.
Le bail autorise simplement l’exploitant à y installer et exploiter une centrale pendant une durée définie (souvent 30 à 40 ans). À la fin, le terrain vous revient, remis en état.
Non. Le développeur prend en charge l’intégralité du projet, y compris :
Pas nécessairement. Le développeur peut vérifier le statut administratif du terrain et, si besoin, accompagner les démarches de déclassement, notamment auprès de la DGAC (Direction Générale de l’Aviation Civile), de la mairie ou de l’État.
Si le site est désaffecté et plus utilisé, cela ne bloque généralement pas un projet solaire.
C’est souvent un avantage. Une piste: peut accueillir les équipements techniques (onduleurs, transformateurs, poste électrique), servir d’accès chantier ou maintenance, ou même être intégrée au projet pour faciliter la logistique.
Le producteur d'énergie peut aussi proposer de la retirer ou la végétaliser si besoin.
C’est rare, mais cela peut exister.
Si le site est proche d’une zone aérienne active (radar, couloir de vol, servitude de dégagement), le producteur d'énergie vérifie ce point en amont et contacte la DGAC si nécessaire.
Dans 90 % des cas, les anciennes servitudes ne sont plus en vigueur.
Non, ce n’est pas un frein pour un projet photovoltaïque.
L’isolement est même souvent un avantage, car cela limite les conflits d’usage (pas de voisinage, pas de gêne visuelle).
Si l’accès est difficile ou dégradé, le développeur peut: aménager une voie d’accès temporaire pour l’installation, prévoir un accès pérenne pour la maintenance, ou passer des accords ponctuels avec les voisins en cas de terrain enclavé.