Notre engagement repose sur une approche harmonieuse entre production agricole et transition énergétique.
En partenariat étroit avec les acteurs du monde rural, politique et privé nous, nous accompagnons les agriculteurs dans la réalisation de projets qui leur ressemblent et servent leurs intérêts.
En moyenne, pour une friche agricole, le loyer se situe entre 1 500€ et 4 000 € par hectare et par an.
Le montant du loyer dépend principalement de :
À savoir : le terrains dégradés (ancienne carrière, friche industrielle...) offrent des rémunérations allant jusqu'à 9 000€ par hectare et par an. En savoir plus (lien à insérer)
Oui la surface minimale pour l'exploitation d'un central solaire dépend de l'usage du terrain :
À savoir : vous pouvez cumuler la surface de plusieurs parcelles géographiquement proches pour améliorer l'éligibilité du projet.
Toutes les élevages équins ou asins ne présentent pas le même niveau de compatibilité.
Il n'y a pas de type d'élevage rédhibitoire à la création d'un projet agrivoltaïque équin ou asin. Pour les moins adaptés, des dispositions supplémentaires devront être prises dans la phase de conception du projet.
Non, le projet sera adapté aux spécificités de l'élevage équin. Les chevaux et ânes sont grands, mobiles, parfois joueurs ou nerveux, donc les structures seront être renforcées, sécurisées et placées à une hauteur suffisante pour éviter tout contact direct.
Les intérêts d'un projet agrivoltaïque équin ou asin sont multiples. Parmi ces derniers on peu notamment citer :
Oui. Le terrain reste accessible en totalité, et les panneaux sont espacés pour permettre une circulation fluide des animaux, même au galop. L’aménagement prend en compte les besoins de mouvement et d’interactions sociales des équidés.
Surface, en hectares, du terrain à étudier sur lequel vous souhaitez installer une ferme solaire.
Une question sur ce simulateur ?
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Région française du terrain où vous souhaitez installer une ferme solaire.
Moitié Sud
Nouvelle Aquitaine, Occitanie, PACA, Auvergne Rhône-Alpes et Corse
Moitié Nord
Toutes les régions françaises non situées sur la moitié sud
Loyer maximum escompté i
Tonnes de CO2 évitées i
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Après avoir contacté plusieurs entreprises de ce type et avoir reçu des informations très limitées. Ma conversation avec le représentant de Ferme Solaire m’a permis de comprendre parfaitement le cadre légal, le timing du projet et les perspectives de réussite.
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Non, aucun frais n’est à votre charge.
De la conception du projet jusqu’au démantèlement de la centrale, tout est pris en charge par le producteur d’énergie : études, démarches administratives, travaux, raccordement, maintenance, et même la remise en état du terrain en fin de contrat.
Vous n’avez aucune avance à faire, ni gestion à assurer. Le producteur s’occupe de tout, à ses frais.
À la fin du contrat, plusieurs options s’offrent à vous :
En moyenne, il faut compter entre 3 et 6 ans entre la signature d’une promesse de bail et la mise en service de la ferme solaire. Voici les grandes étapes :
Le bail emphytéotique est un contrat de location longue durée, allant de 18 à 99 ans. Il donne au locataire – qu’on appelle l’emphytéote – des droits étendus sur le terrain, comme s’il en était presque propriétaire. Il peut par exemple y réaliser des travaux ou même le sous-louer.
Ce type de bail présente des avantages pour les deux parties :
À noter : comme l’emphytéote a un usage quasi-propriétaire du terrain, c’est lui qui paie la taxe foncière, et non le propriétaire. L’administration fiscale considère que c’est à lui d’en assumer la charge.
Le seul équipement pouvant émettre un léger bruit est l’onduleur, qui transforme le courant continu en courant alternatif. Ce bruit est comparable à un léger souffle et n’est perceptible que si l’on se trouve à proximité immédiate de l’appareil.
En résumé, une centrale solaire est une source d’énergie discrète, qui s’intègre parfaitement dans son environnement sans nuisance sonore.
Cela dépend de la configuration du terrain. Dans le cas où la visibilité de la centrale agrivoltaïque est un enjeu, des mesures d’intégration paysagère sont mises en place : haies végétales, talus ou clôtures pour préserver la discrétion du site et limiter son impact visuel.
L’objectif est toujours de respecter l’environnement local et de préserver la tranquillité du voisinage.
En générale l'emprise au sol n'excède pas 0,5% de la surface allouée. L'impact sur la surface exploitable est minime
Oui. Vous louez votre terrain sans le vendre : vous restez pleinement propriétaire.
Le bail autorise simplement l’exploitant à y installer et exploiter une centrale pendant une durée définie (souvent 30 à 40 ans). À la fin, le terrain vous revient, remis en état.
Vous conservez un accès libre à votre terrain, y compris en cas d’urgence. Les interventions vétérinaires restent possibles à tout moment. Le site est conçu pour permettre la circulation des véhicules agricoles et garantir une gestion normale de l’élevage, même pendant l’exploitation de la centrale.
Non ce n'est pas obligatoire. En revanche la réglementation impose le maintient d'une activité agricole sur les parcelles destinées au projet.
Si ce n'est pas déjà le cas, Il est donc impératif de vous associer avec un agriculteur qui développera un projet agricole sérieux pour que le projet soit validé lors de l'instruction.
Dans le cas de figure, où le propriétaire et l'exploitant agricole sont deux personnes distinctes, le montant du loyer est partagé à parts égales entre les deux parties.
Oui, et parfois même mieux qu’ailleurs, notamment en période sèche. L’ombrage partiel limite l’évaporation, ce qui favorise la repousse. On peut même adapter l’implantation des panneaux pour optimiser la production fourragère.
Ce n'est pas obligatoire mais dans beaucoup de projets le producteur d'énergie peut proposer et assurer la maintenance d'aménagements complémentaires (clôtures électriques, accès sécurisés, haies paysagère pour limiter la visibilité etc.).