Image montrant une parcelle parcelle de culture de PPAM sur laquelle un projet agrivoltaïque est envisagé.

PPAM agrivoltaïques

Jusqu'à 700€ de loyer par an/ha
Revenus garantis sur
40 ans
Sécurité contre les aléas climatiques
Membre officiel
Membre Enerplan & FFPA
+17 000
propriétaires accompagnés
+600 000ha
de terrains étudiés
3,5 GWc
de projet en développement

Louez votre parcelle de PPAM pour un projet agrivoltaïque

Qu'est-ce que l'agrivoltaïsme avec Ferme Solaire ?

Notre engagement repose sur une approche harmonieuse entre production agricole et transition énergétique.

En partenariat étroit avec les acteurs du monde rural, politique et privé nous, nous accompagnons les agriculteurs dans la réalisation de projets qui leur ressemblent et servent leurs intérêts.

Quel loyer puis-je percevoir ?

En moyenne, pour un terrain cultivé, le loyer se situe entre 500 € et 700 € par hectare et par an.

Le montant du loyer dépend principalement de :

  • la surface disponible,
  • la qualité et l’accessibilité du terrain,
  • la distance au réseau électrique (poste source),
  • et le type de projet envisagé (au sol, agrivoltaïsme...).

À savoir : le terrains dégradés (ancienne carrière, friche industrielle...) offrent des rémunérations allant jusqu'à 9 000€ par hectare et par an. En savoir plus (lien à insérer).

Une surface minimale est elle requise ?

Oui la surface minimale pour l'exploitation d'un central solaire dépend de l'usage du terrain :

  • Dès 4 ha pour les prairies, pâturages, jachères et friches agricoles
  • Dès 10 ha pour les terrains cultivés et cultures de PPAM

À savoir : vous pouvez cumuler la surface de plusieurs parcelles géographiquement proches pour améliorer l'éligibilité du projet.

Est-ce que les PPAM peuvent cohabiter avec une ferme solaire ?

Oui, tout à fait. De nombreuses cultures de plan à parfum, aromatique et médicinales sont compatibles avec un projet agrivoltaïque.

La conception de la central solaire est pensé pour laisser passer suffisamment de lumière, tout en respectant l’espacement entre les rangs et la possibilité de circuler pour la récolte ou l’entretien.

Quels types de PPAM sont compatibles avec un projet solaire ?

Les plus courantes et les plus compatibles sont :

Très adaptées, ces cultures ont une bonne tolérance à l’ombrage partiel et peuvent tirer parti d’un microclimat plus frais sous les panneaux :

  • verveine citronnelle, mélisse, menthe poivrée ou verte, camomille romaine ou allemande, estragon, coriandre, aneth, cerfeuil, pavot, bleuet

Adaptées, ces plantes peuvent cohabiter avec des panneaux si le projet est bien conçu :

  • Lavande & lavandin, thym, romarin, sauge officinale, sarriette, hysope, basilic (variétés rustiques)

Peu adaptées, sans être impossible la culture de ces plantes en agrivoltaïsme est difficile à mettre en œuvre tout en respectant les condition d'éligibilité des projets :

  • Basilic frais, plantes à floraison courte, plantes à usage ornemental , PPAM à double usage (alimentaire & cosmétique) avec cahier des charges strict.

Mes plantes auront-elles assez de lumière ?

Oui, c’est un point clé dans les projets agrivoltaïques. Les panneaux sont espacés et orientés de manière à garantir une luminosité suffisante, même pour les espèces héliophiles comme la lavande.

Un ombrage partiel contrôlé (souvent entre 20 % et 40 % selon les zones) permet de préserver la photosynthèse tout en limitant les excès climatiques.

L’ombrage va-t-il changer le profil aromatique ou le rendement ?

Pas nécessairement. Un ombrage partiel et bien dosé peut même avoir des effets bénéfiques :

  • Moins de stress thermique, ce qui préserve la qualité des composés volatils
  • Réduction de l’évaporation des huiles essentielles en surface
  • Dans certaines cultures comme la verveine, la mélisse ou la menthe, cela peut même stabiliser ou améliorer la qualité.

Chaque projet est adapté à l'espèce, et peut même inclure un suivi agronomique.

Puis-je irriguer comme d’habitude ?

Oui. Vos réseaux d’irrigation existants (goutte-à-goutte, aspersion, microjets) peuvent être conservés.

L’installation solaire ne gêne ni les tuyaux ni l’arrosage, et peut même réduire l’évaporation, donc limiter les besoins en eau.

Le projet perturbe-t-il la floraison ou la coupe au bon moment ?

Non. Le cycle de vos plantes est respecté. L’installation n’a pas d’effet direct sur le calendrier de floraison, ni sur vos conditions de récolte.

En période très chaude, l’ombre partielle peut même retarder légèrement la floraison, ce qui peut être un avantage pour répartir les coupes.

Cela a-t-il un impact sur le désherbage mécanique ou thermique ?

Non. Les panneaux sont disposés avec des largeurs de passage suffisantes pour votre matériel (bineuse, herse, désherbeur thermique…).

Vous gardez l’entière maîtrise de l’entretien de vos inter-rangs.

Puis-je obtenir une aide à l’adaptation de mes pratiques ?

Dans certains cas, des partenariats sont proposés pour faciliter :

  • l’achat de matériel adapté,
  • la modernisation de la conduite (filets, capteurs...),
  • ou l’intégration de technologies agronomiques (stations météo, sondes, etc.)

Cela dépend du producteur d'énergie et du projet. Cela peut ajouter de la valeur à votre parcelle, sans surcoût pour vous.

Combien ça fait environ ?

Simulez votre loyer annuel sur une durée de 20 à 40 ans

Type de terrain

PPAM agrivoltaïques
500
700

Taille de votre terrain

Surface, en hectares, du terrain à étudier sur lequel vous souhaitez installer une ferme solaire. 

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Ha

Niveau d'ensoleillement

Région française du terrain où vous souhaitez installer une ferme solaire.

Moitié Sud

Nouvelle Aquitaine, Occitanie, PACA, Auvergne Rhône-Alpes et Corse

Moitié Nord

Toutes les régions françaises non situées sur la moitié sud

Loyer maximum escompté i

Montant maximum constaté. Ce montant n'a aucune valeur contractuelle, seule la proposition émise dans une promesse de bail à l'issue d'une étude technique de faisabilité fait foi.
-- €/an
soit un total de --
pour un bail de 40 ans

Tonnes de CO2 évitées i

Source : Étude RTE dans le cadre du bilan prévisionnel 2019 via une simulation du fonctionnement du système électrique actuel sans les installations éoliennes ou photovoltaïques. 
-7200 t/an
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Professionnel et à l'écoute

Après avoir contacté plusieurs entreprises de ce type et avoir reçu des informations très limitées. Ma conversation avec le représentant de Ferme Solaire m’a permis de comprendre parfaitement le cadre légal, le timing du projet et les perspectives de réussite.

Gaspard L.

Contact rapide et efficace

J’ai été appelée par une personne très aimable et efficace de l’équipe Fermé Solaire. J’ai ensuite reçu plusieurs offres très intéressantes de développeurs solaires. Je recommande vivement!

Alexia B.

Promesse tenue

Très satisfait de ce site j'ai été contacté par trois entreprises sérieuses qui mon fait des propositions pratiquement identique ça m'a permis de me faire une idée sur la complexité du projet

Patrique J.

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Des questions ?

Vous trouverez plus de réponses dans notre FAQ dédiée

Aurai-je quelque chose à payer ?

Non, aucun frais n’est à votre charge.
De la conception du projet jusqu’au démantèlement de la centrale, tout est pris en charge par le producteur d’énergie : études, démarches administratives, travaux, raccordement, maintenance, et même la remise en état du terrain en fin de contrat.

Vous n’avez aucune avance à faire, ni gestion à assurer. Le producteur s’occupe de tout, à ses frais.

Que se passe-t-il a la fin du contrat ?

À la fin du contrat, plusieurs options s’offrent à vous :

  1. Vous récupérez votre terrain :
    Le producteur d’énergie a alors l’obligation de démonter la centrale et de remettre le terrain dans son état initial.
  2. Vous prolongez le contrat :
    Si vous le souhaitez, vous pouvez renouveler l’accord et continuer à percevoir des loyers.
  3. Vous vendez le terrain au producteur :
    Il est aussi possible de céder définitivement le terrain au producteur d’énergie.

Quelles sont les étapes du projet ?

En moyenne, il faut compter entre 2 et 4 ans entre la signature d’une promesse de bail et la mise en service de la ferme solaire. Voici les grandes étapes :

  1. Signature de la promesse de bail :
    Vous signez un accord avec le producteur d’énergie solaire. Cet accord peut inclure une indemnité d’immobilisation, qui compense le temps d’attente avant le début du versement des loyers.
  2. Étude et instruction du dossier :
    Le projet est analysé par les autorités compétentes. Cette étape peut durer de 6 à 24 mois, selon les spécificités de votre terrain.
  3. Construction de la centrale :
    Une fois les autorisations obtenues, les travaux de construction durent au moins 6 mois.
  4. Raccordement au réseau électrique :
    Cette étape peut prendre de 12 à 36 mois, en fonction de la distance au réseau et de la capacité disponible.
  5. Mise en service et paiement des loyers :
    Une fois la centrale en service, vous commencez à percevoir vos loyers régulièrement.

Qu'est ce qu'un bail emphytéotique ?

Le bail emphytéotique est un contrat de location longue durée, allant de 18 à 99 ans. Il donne au locataire – qu’on appelle l’emphytéote – des droits étendus sur le terrain, comme s’il en était presque propriétaire. Il peut par exemple y réaliser des travaux ou même le sous-louer.

Ce type de bail présente des avantages pour les deux parties :

  • Le locataire peut exploiter le terrain sur le long terme, sans avoir à l’acheter.
  • Le propriétaire, lui, garde la propriété du terrain tout en percevant un loyer régulier.

À noter : comme l’emphytéote a un usage quasi-propriétaire du terrain, c’est lui qui paie la taxe foncière, et non le propriétaire. L’administration fiscale considère que c’est à lui d’en assumer la charge.

La centrale solaire génère-t-elle des nuisances sonores ?

Le seul équipement pouvant émettre un léger bruit est l’onduleur, qui transforme le courant continu en courant alternatif. Ce bruit est comparable à un léger souffle et n’est perceptible que si l’on se trouve à proximité immédiate de l’appareil.

En résumé, une centrale solaire est une source d’énergie discrète, qui s’intègre parfaitement dans son environnement sans nuisance sonore.

Le panneaux sont-ils visibles de l'exterieur de la centrale ?

Cela dépend de la configuration du terrain. Dans le cas où la visibilité de la centrale agrivoltaïque est un enjeu, des mesures d’intégration paysagère sont mises en place : haies végétales, talus ou clôtures pour préserver la discrétion du site et limiter son impact visuel.

L’objectif est toujours de respecter l’environnement local et de préserver la tranquillité du voisinage.

Quelle est l'emprise au sol d'une installation agrivoltaïque ?

En générale l'emprise au sol n'excède pas 0,5% de la surface allouée. L'impact sur la surface exploitable est minime

Mon terrain reste-t-il ma propriété ?

Oui. Vous louez votre terrain sans le vendre : vous restez pleinement propriétaire.

Le bail autorise simplement l’exploitant à y installer une centrale pendant une durée définie (souvent 30 à 40 ans). À la fin, le terrain vous revient, remis en état.

Quelles sont les difficultés locales pour ces projets ?

Les projets sur terrain cultivé rencontrent souvent plus de réticences locales que ceux sur friche ou prairie :

  • Parce qu’ils touchent une parcelle productive et visible, perçue comme "sacrifiée"
  • Parce qu’ils impliquent des structures hautes, parfois sur plusieurs hectares
  • Parce que certaines collectivités craignent un précédent en matière d’usage du foncier agricole

Pour faciliter l’acceptabilité, le producteur d'energie vous accompagne pour :

  • Associer les acteurs agricoles dès le départ : chambre, CDOA, SAFER
  • Documenter les bénéfices agricoles concrets
  • Présenter un plan d’exploitation agricole pluriannuel vérifiable

Prévoir un suivi post-installation (bilans agronomiques, comités de suivi)

Puis-je maintenir mon label bio ou HVE avec un projet agrivoltaïque ?

Oui, mais avec des conditions strictes et un suivi renforcé.

  • Le cahier des charges bio impose que les pratiques culturales restent conformes (pas de pollution, pas de contrainte d’accès, maintien de la biodiversité).
  • L’agriculteur doit pouvoir continuer à conduire sa culture normalement, sans altération significative liée à la structure photovoltaïque.
  • L’ombrage ou les contraintes mécaniques ne doivent pas entraîner de baisse de diversité ou une impossibilité de respecter les rotations prévues.
  • Pour le label HVE, le maintien d’un bon score sur la biodiversité, la fertilisation et les pratiques est essentiel : un projet mal intégré pourrait dégrader certains indicateurs.

Le développeur doit travailler avec l’exploitant pour documenter les effets du projet (suivi de la productivité, analyses de sol, effets microclimatiques…), en lien avec l’auditeur label.

Faut-il être agriculteur pour lancer un projet agrivoltaïque ?

Non ce n'est pas obligatoire. En revanche la réglementation impose le maintient d'une activité agricole sur les parcelles destinées au projet.

Si ce n'est pas déjà le cas, Il est donc impératif de vous associer avec un agriculteur qui développera un projet agricole sérieux pour que le projet soit validé lors de l'instruction.

Dans le cas de figure, où le propriétaire et l'exploitant agricole sont deux personnes distinctes, le montant du loyer est partagé à parts égales entre les deux parties.

Ma surface exploitable va-t-elle diminuer ?

Non, le décret du 8 avril 2024 impose que le taux de couverture n’excède pas 40 % de la surface de la parcelle.

Par ailleurs, la ferme solaire est conçue pour qu'au moins 99 % du sol reste vivant (aucune dalle, pas de béton).

Enfin, les panneaux sont réversibles et ancrés sans altérer le sol.

Est-ce que je garde la maîtrise technique de ma parcelle ?

Oui, à 100 %. Vous restez maître de votre calendrier cultural, de vos intrants, de vos pratiques, de votre récolte.

Le développeur ne s’implique que dans l’occupation de l’espace au-dessus du sol, sans interférer dans votre conduite.

Et si je fais du séchage ou de la distillation sur site ?

Aucun problème. Le projet solaire est limité à l’espace cultivé. Vos activités de transformation post-récolte (séchage, distillation, stockage) ne sont pas impactées.

Certaines structures photovoltaïques peuvent même intégrer un abri ou hangar utile à ces opérations, selon les cas.

Que se passe-t-il si je veux changer d’espèce ou faire une jachère temporaire ?

C’est possible, tant que vous continuez à entretenir la parcelle. Le bail peut permettre des ajustements de culture si ces changements sont discuter pendant la phase de conception du projet.

Si vous souhaitez passer d’une culture de thym à de la verveine, ou mettre une partie en repos végétatif, le projet peut s’adapter à l’évolution de vos rotations.