Notre engagement repose sur une approche harmonieuse entre production agricole et transition énergétique.
En partenariat étroit avec les acteurs du monde rural, politique et privé nous, nous accompagnons les agriculteurs dans la réalisation de projets qui leur ressemblent et servent leurs intérêts.
En moyenne, pour un terrain cultivé, le loyer se situe entre 500 € et 700 € par hectare et par an.
Le montant du loyer dépend principalement de :
À savoir : le terrains dégradés (ancienne carrière, friche industrielle...) offrent des rémunérations allant jusqu'à 9 000€ par hectare et par an. En savoir plus (lien à insérer).
Oui la surface minimale pour l'exploitation d'un central solaire dépend de l'usage du terrain :
À savoir : vous pouvez cumuler la surface de plusieurs parcelles géographiquement proches pour améliorer l'éligibilité du projet.
Oui, tout à fait. De nombreuses cultures de plan à parfum, aromatique et médicinales sont compatibles avec un projet agrivoltaïque.
La conception de la central solaire est pensé pour laisser passer suffisamment de lumière, tout en respectant l’espacement entre les rangs et la possibilité de circuler pour la récolte ou l’entretien.
Les plus courantes et les plus compatibles sont :
Très adaptées, ces cultures ont une bonne tolérance à l’ombrage partiel et peuvent tirer parti d’un microclimat plus frais sous les panneaux :
Adaptées, ces plantes peuvent cohabiter avec des panneaux si le projet est bien conçu :
Peu adaptées, sans être impossible la culture de ces plantes en agrivoltaïsme est difficile à mettre en œuvre tout en respectant les condition d'éligibilité des projets :
Oui, c’est un point clé dans les projets agrivoltaïques. Les panneaux sont espacés et orientés de manière à garantir une luminosité suffisante, même pour les espèces héliophiles comme la lavande.
Un ombrage partiel contrôlé (souvent entre 20 % et 40 % selon les zones) permet de préserver la photosynthèse tout en limitant les excès climatiques.
Pas nécessairement. Un ombrage partiel et bien dosé peut même avoir des effets bénéfiques :
Chaque projet est adapté à l'espèce, et peut même inclure un suivi agronomique.
Oui. Vos réseaux d’irrigation existants (goutte-à-goutte, aspersion, microjets) peuvent être conservés.
L’installation solaire ne gêne ni les tuyaux ni l’arrosage, et peut même réduire l’évaporation, donc limiter les besoins en eau.
Non. Le cycle de vos plantes est respecté. L’installation n’a pas d’effet direct sur le calendrier de floraison, ni sur vos conditions de récolte.
En période très chaude, l’ombre partielle peut même retarder légèrement la floraison, ce qui peut être un avantage pour répartir les coupes.
Non. Les panneaux sont disposés avec des largeurs de passage suffisantes pour votre matériel (bineuse, herse, désherbeur thermique…).
Vous gardez l’entière maîtrise de l’entretien de vos inter-rangs.
Dans certains cas, des partenariats sont proposés pour faciliter :
Cela dépend du producteur d'énergie et du projet. Cela peut ajouter de la valeur à votre parcelle, sans surcoût pour vous.
Surface, en hectares, du terrain à étudier sur lequel vous souhaitez installer une ferme solaire.
Une question sur ce simulateur ?
Lisez notre FAQ
Région française du terrain où vous souhaitez installer une ferme solaire.
Moitié Sud
Nouvelle Aquitaine, Occitanie, PACA, Auvergne Rhône-Alpes et Corse
Moitié Nord
Toutes les régions françaises non situées sur la moitié sud
Loyer maximum escompté i
Tonnes de CO2 évitées i
Ferme solaire vous permet de recevoir jusqu'à 3 offres de producteurs d'énergie partenaires reconnu pour leur savoir faire et leur valeur.
Un interlocuteur unique suit votre projet de A à Z
Des recommandations personnalisées pour augmenter les chances de réussite du projet
Une expertise garantie qui cumule des milliers de projets analysés
Des contrats transparents qui vous protègent
Après avoir contacté plusieurs entreprises de ce type et avoir reçu des informations très limitées. Ma conversation avec le représentant de Ferme Solaire m’a permis de comprendre parfaitement le cadre légal, le timing du projet et les perspectives de réussite.
J’ai été appelée par une personne très aimable et efficace de l’équipe Fermé Solaire. J’ai ensuite reçu plusieurs offres très intéressantes de développeurs solaires. Je recommande vivement!
Très satisfait de ce site j'ai été contacté par trois entreprises sérieuses qui mon fait des propositions pratiquement identique ça m'a permis de me faire une idée sur la complexité du projet
Non, aucun frais n’est à votre charge.
De la conception du projet jusqu’au démantèlement de la centrale, tout est pris en charge par le producteur d’énergie : études, démarches administratives, travaux, raccordement, maintenance, et même la remise en état du terrain en fin de contrat.
Vous n’avez aucune avance à faire, ni gestion à assurer. Le producteur s’occupe de tout, à ses frais.
À la fin du contrat, plusieurs options s’offrent à vous :
En moyenne, il faut compter entre 2 et 4 ans entre la signature d’une promesse de bail et la mise en service de la ferme solaire. Voici les grandes étapes :
Le bail emphytéotique est un contrat de location longue durée, allant de 18 à 99 ans. Il donne au locataire – qu’on appelle l’emphytéote – des droits étendus sur le terrain, comme s’il en était presque propriétaire. Il peut par exemple y réaliser des travaux ou même le sous-louer.
Ce type de bail présente des avantages pour les deux parties :
À noter : comme l’emphytéote a un usage quasi-propriétaire du terrain, c’est lui qui paie la taxe foncière, et non le propriétaire. L’administration fiscale considère que c’est à lui d’en assumer la charge.
Le seul équipement pouvant émettre un léger bruit est l’onduleur, qui transforme le courant continu en courant alternatif. Ce bruit est comparable à un léger souffle et n’est perceptible que si l’on se trouve à proximité immédiate de l’appareil.
En résumé, une centrale solaire est une source d’énergie discrète, qui s’intègre parfaitement dans son environnement sans nuisance sonore.
Cela dépend de la configuration du terrain. Dans le cas où la visibilité de la centrale agrivoltaïque est un enjeu, des mesures d’intégration paysagère sont mises en place : haies végétales, talus ou clôtures pour préserver la discrétion du site et limiter son impact visuel.
L’objectif est toujours de respecter l’environnement local et de préserver la tranquillité du voisinage.
En générale l'emprise au sol n'excède pas 0,5% de la surface allouée. L'impact sur la surface exploitable est minime
Oui. Vous louez votre terrain sans le vendre : vous restez pleinement propriétaire.
Le bail autorise simplement l’exploitant à y installer une centrale pendant une durée définie (souvent 30 à 40 ans). À la fin, le terrain vous revient, remis en état.
Les projets sur terrain cultivé rencontrent souvent plus de réticences locales que ceux sur friche ou prairie :
Pour faciliter l’acceptabilité, le producteur d'energie vous accompagne pour :
Prévoir un suivi post-installation (bilans agronomiques, comités de suivi)
Oui, mais avec des conditions strictes et un suivi renforcé.
Le développeur doit travailler avec l’exploitant pour documenter les effets du projet (suivi de la productivité, analyses de sol, effets microclimatiques…), en lien avec l’auditeur label.
Non ce n'est pas obligatoire. En revanche la réglementation impose le maintient d'une activité agricole sur les parcelles destinées au projet.
Si ce n'est pas déjà le cas, Il est donc impératif de vous associer avec un agriculteur qui développera un projet agricole sérieux pour que le projet soit validé lors de l'instruction.
Dans le cas de figure, où le propriétaire et l'exploitant agricole sont deux personnes distinctes, le montant du loyer est partagé à parts égales entre les deux parties.
Non, le décret du 8 avril 2024 impose que le taux de couverture n’excède pas 40 % de la surface de la parcelle.
Par ailleurs, la ferme solaire est conçue pour qu'au moins 99 % du sol reste vivant (aucune dalle, pas de béton).
Enfin, les panneaux sont réversibles et ancrés sans altérer le sol.
Oui, à 100 %. Vous restez maître de votre calendrier cultural, de vos intrants, de vos pratiques, de votre récolte.
Le développeur ne s’implique que dans l’occupation de l’espace au-dessus du sol, sans interférer dans votre conduite.
Aucun problème. Le projet solaire est limité à l’espace cultivé. Vos activités de transformation post-récolte (séchage, distillation, stockage) ne sont pas impactées.
Certaines structures photovoltaïques peuvent même intégrer un abri ou hangar utile à ces opérations, selon les cas.
C’est possible, tant que vous continuez à entretenir la parcelle. Le bail peut permettre des ajustements de culture si ces changements sont discuter pendant la phase de conception du projet.
Si vous souhaitez passer d’une culture de thym à de la verveine, ou mettre une partie en repos végétatif, le projet peut s’adapter à l’évolution de vos rotations.